Mais j'y comprends rien, j'y comprends que dalle, à ces putains d'intermittences du coeur, ou peut-être même pas, ou peut-être d'ailleurs, ou peut-être de rien, ou peut-être d'humeurs, parfois je voudrais, j'aimerais te faire mal, juste pour que tu voies, juste pour que tu ressentes, juste pour que tu imagines, parfois j'aimerais oublier que la vengeance est stérile et que certaines relations ne devraient pas donner lieu à certaines émotions, et puis parfois je me dis que si, heureusement que tout n'est pas cloisonné, et qu'en plus, j'adore me frustrer